La sortie du 13 juillet 2025 bis.
Arrivée et installation samedi au camping de Bourg d'Oisans. Au premier plan le "camping-car" qui logera un beau-vieux- vélo et son propriétaire.
Départ nocturne avec réveil à trois heures quinze pour petit-déjeuner à l'accueil du BRA- Brevet de Randonneur des Alpes- Dossard en palindrome : 636
Sauf que, ça commence bien, roue avant à plat ! Valve fuyante. Changement de chambre, remontage rapide dans la nuit, pas vu l'arrière du pneu mal remonté; remontage à l'arrache et perçage, réparation d'urgence à la rustine auto-collante.
Arrivée au p'tit déj à l'heure du départ groupé ! Tant pis je prends mon petit déjeuner et partirai avec un peu de retard. Au prire il y a un départ à quatre heures.
Finalement, je pars avec quinze minutes de retard et rattrape l'arrière du premier groupe déjà scindé en deux peu avant Rochetaillée.
Tout soudain, je me rends compte que j'ai oublié ma pompe dans l' herbe prés du "camping-car" ! Y'a plus qu'a espérer une bonne résistance de la rustine.
Le barrage de Allemont.
On attaque le dur avec le col de la Croix de Fer. Passage devant les lacets du barrage d'Allemont. Eau d'olle descente violente pour contourner l'éboulement d'il y a quelques dizaines d'années, s'en suit une remontée aussi violente pour retrouver la route d'origine.
Contrôle au col de la croix de Fer hélas sans photo, appareil non coopérant.
Demi tour sur le Glandon - pas de photo pour la même raison- pour filer vers Sainte Marie de Cuine par une descente rapide.
Petit répit avant les célèbres lacets de Montvernier et leurs 8 à 9%
Ils sont bien là, on cachés par la végétation.
Les lacets ; capture d'écran.
La Tour de Bérold de Saxe. sur la commune de Hermillon.
De Saint Jean de Maurienne à Saint Michel par une trace casse-pattes et ravito à Saint Michel. Où je retrouve Michel L. bon rouleur de mon ancien club et plus en forme que moi !
On est là au pied du col du Télégraphe 12 km avec de bons pourcentages.
5km et ma rustine lâche prise ! J'arrête un cyclo à pompe mais rien à faire, il faut démonter. Je laisse repartir mon aide occasionnel le temps de réparer et d'arrêter un autre participant.
Un gars du Val de Marne me propose une chambre que j'accepte et on repart avec deux kg de pression !
Je lui ai bien proposé un remboursement qu'il refusa. Sport ! Un grand merci.
Nous franchissons le col de conserve.
Le télégraphe.
Quatre km de descente nous amènent à Valloire où nous attend un joli raidard lequel se termine par une pasta partie bienvenue.
Valloire, sculpture de glace en hiver, de paille en été.
Les dernières difficultés s'annoncent ; ascension tranquille- quoi que- jusqu'au Plan Lachat où je m'autorise- au bout de ma vie- une petite sieste.
Sauf que la pluie se mets de la partie. Pas chaude à 2000m.
C'est là bas, tout au fond qu'on va !
Sieste écourtée je reprends la selle. Plusieurs arrêts habillages et déshabillages plus loin pour cause de pluie, on le voit enfin ce Graal du cycliste :
Il est bien là à droite...
Nous évitons le tunnel, trop facile, pour emprunter le dernier km à 10%. Arrivée sous une petite pluie sinon revigorante à tout le moins rafraîchissante.
Les célèbres panneaux débarrassés des innombrables traces de passages qui les rendaient illisibles.
Petit coup de pompe ( à pied pour mettre les 7kg que réclame mon pneu avant) au ravito du col histoire d'assurer la descente qui s'annonce froide et pluvieuse voire glissante.
Jamais je n'ai descendu les 8 km du Galibier au Lautaret si lentement ! Jamais plus de 62 km/h. Non, je rigole, souvent bien moins vite...
Si j'ai été doublé souvent en montée par des cyclos à disques , je leur ai rendu la pareille en descente. Sans doute craignent-ils la puissance de leur freinage et de potentiels dérapages, contrairement à mes patins qui sous la pluie, c'est bien connu, ne freinent pas mais que je contrôle suffisamment à mon goût et sont d'une douceur sans égale... ;-)))
Madame la pluie s'étant évaporée discrètement et sans un bruit, la descente du Lautaret fut, à mi-chemin, technique autant que rapide et sèche.
La Meige depuis La Grave.
Jusqu'à Bourg d'Oisans terminus de la sortie.
J'avais envisagé le retour par les balcons de Auris, mais je n'avais plus les ressources pour les 400 D+ nécessaires...
Un grand merci aux cyclos Grenoblois pour leur investissement sans faille au service des 600 participants à ce défi.
Des chiffres ? En toute immodestie assumée : 178,5 km, 17, 24 km/h ( jamais fait si lent au BRA), 10h 21 , 63 km/h max, cerise sur la gâteau et petite fierté : 4474 D+
Comme nos amis du CTG (cyclos Grenoblois) je regrette la perte continue de participants à cette épreuve ( 600 contre plusieurs milliers il y a quelques années). Peut être l'absence de classement à une époque de compétition à tout crin ? Ou le prix de l'inscription pour ce type d'événement ? J'en connais qui ont renoncé pour ce motif.
Un petit regret à St Michel où le petit plateau repas n'est maintenant plus qu'un ravito uniquement sucré.
Des excuses à présenter ? Comme on dit sur certaine station radio publique.
Alors désolé pour Véronique et Priscilla, la paréidolie que je situais abusivement à Pont en Royans se trouve en fait à Livet et Blavet D 1091. La prise de vue un peu rapide, sur la route du retour, ne présente pas le meilleur profil mais s'est bien là que l'on conserve la tête de Louis XVI...
Merci d'agréer mesdames, mes plus humbles excuses.
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